M. Mora ne reviendra plus, mais des pages d’histoires individuelles et collectives se sont écrites ici et continuent à s’écrire, dans le silence, dans des deuils à jamais inachevés parce que la bureaucratie vient à échéances régulières raviver tant de souvenirs, tant d’absences. Ailleurs ce sont des douleurs articulaires présentées en fiches de paie et autres attestations qui expriment tant d’années de labeur, d’absences et surtout de services, rendus dans des pays européens et dans le village ou le douar d’origine. A la trace de Mora, je n’ai trouvé que des bouts de mémoire éparpillés ici ou là en attendant d’être consignés dans le grand livre de l’histoire de ce pays.
En souvenir des années charbon !